L'Œuf de rien ...

   “ L'Œuf de rien n'éclot qu'en lui-même, en dehors c'est encore lui.
 L'Être dans l'Œuf n’existe pas, il ne souffre d'aucune contrainte, d'aucune règles. Il est libre de tout, il peut tout être, jouer tout les rôles, toutes les parties possible, parmi ces parties, c'est rôles qu'il endosse, il ya toi, moi nous tous !
 Sur les parois intérieur de son Œuf vide et sans coquille le Joueur crois devinait quelques choses, crois voir un monde. En percevant un monde le Joueur se contraint à ne pas percevoir se qu'il n'est pas.
 L'Œuf du Néant peut tout être, un monde perd tout se qu'il n'est pas. Un monde n'est pas une explosion de possible, c'est une restriction.
 En dehors des lois physique du temps, le Joueur demeure en l'origine pour chacun de ses rêves, au temps où il n'y en avait pas, avant que le Serpent s'étire,
quand il se mordait, mord, mordra la queue.
 Le Joueur est chaque fois un rêveur neuf et sans souvenir. Pour chacun de ses rêves, l'Œuf est ensemencé par l'onde du temps, le Serpent éclot, s'étire et meurs.
 C'est ainsi que le Serpent-Joueur rêve tout les possibles ... ”